Le 26 juillet 2023, un groupe de militaires, avec à leur tête l'ancien chef de la Garde présidentielle, le général Abdourahamane Tiani, renversaient le président Mohamed Bazoum. Ce dernier vit depuis reclu dans sa résidence de la capitale nigérienne en compagnie de son épouse Hadiza. Sous l'Arbre à palabres, Eric Topona décrypte la situation politique et sécuritaire un an après ce putsch.

PolitikWirtschaft
L’arbre à palabres | Deutsche Welle Folgen
Pendant 25 minutes, acteurs politiques, représentants de la société civile, experts nationaux et internationaux, confrontent leurs vues sur les conflits et leur gestion, la mondialisation ou encore les effets du réchauffement de la planète.
Folgen von L’arbre à palabres | Deutsche Welle
50 Folgen
-
Folge vom 25.07.2024Débat sur la transition au Niger après le putsch
-
Folge vom 12.07.2024Que retenir des 100 jours de Bassirou Diomaye Faye à la tête du Sénégal ?Le 24 mars 2024, Bassirou Diomaye Faye a été élu dès le premier tour de l'élection présidentielle au Sénégal, avec 54, 28% des voix. Il a été désigné en lieu et place de l'opposant Ousmane Sonko, qui, lui, a été écarté de la course. Sous l'Arbre à palabres, Eric Topona et ses invités analysent le style de gouvernance du nouveau président sénégalais.
-
Folge vom 05.07.2024Débat sur la viabilité de l'Alliance des États du SahelDans ce numéro du débat sous l'Arbre à palabres, Eric Topona et ses invités analysent les chances de survie de l'AES (l'Alliance des Etats du Sahel), conclue le 16 septembre 2023 entre le Mali, le Niger et le Burkina Faso. L'accord a été signé après le coup d'État du 26 juillet 2023 qui a renversé le président Mohamed Bazoum au Niger et contre lequel la Cédéao menaçait d'intervenir militairement.
-
Folge vom 27.06.2024L'état de la démocratie en AfriqueÀ l'occasion des Assises de la démocratie que se tient du 26 au 29 juin à Praia au Cap-Vert, Eric Topona et ses invités abordent sous l'Arbre à palabres les différentes entorses à la promotion de la démocratie en Afrique: série de coups d'états militaires, constitutionnels, violences politiques, manque d'alternances politiques au pouvoir, élections truquées. La liste n’est pas exhaustive.